Dans la presse

RTBF

Africa Gordillo

Le roman pourrait être sombre comme la nuit mais sa tonalité est celle du bleu. Pas de la couleur froide. Plutôt le bleu du crépuscule. Cette lumière incertaine qui succède au coucher du soleil…sans qu’aucun dieu ne soit convoqué; simplement cette question : Y a-t-il une vérité plus loin ? 

la montagne

Blandine Hutin-Mercier

Il faut bleu sous les tombes, de Caroline Valentiny (Albin Michel), est une magnifique et douloureuse ode à la vie, qui se construit et qui se perd. Un premier roman qui irradie d’amour. 

Livres Hebdo

8 novembre 2019 – N°1238

“Dans ce premier roman éblouissant, Caroline Valentiny, au rebours d’une prosopopée rhétorique, un gimmick littéraire par quoi elle ferait parler le jeune défunt, compose une élégie sensorielle et distanciée, rend le lecteur aussi subtil qu’un fantôme, léger qu’un ange.”

Le Carnet et les Instants

Nausicaa Dewez

Un premier roman choral, qui suit les parcours de Madeleine, la mère ; de Pierre, le père ; de Juliette, l’amie-amoureuse et de Noémie, la petite sœur, comme autant de lézardes creusées par une unique déflagration : la mort d’Alexis, un étudiant de vingt ans, dont le roman suit aussi les pensées post-mortem. Un livre à cinq voix, qui dans la brièveté de ses 180 pages, arpente aussi trois voies.